Les œufs des dinosaures

 

Dès les années 1850, l’abbé Pouech avait trouvé dans le crétacé supérieur des fragments de coquilles d’œufs, mais cette découverte passa inaperçue. C’est la mise à jour de nombreux œufs, attribués d’abord au protocératops dans le crétacé supérieur de Mongolie par les expéditions américaines des années 1920 qui révéla au public l’abondance dans certains sites d’œufs de dinosaures. En l’absence d’associations avec des ossements, on a tenté d’établir une classification des types de coquilles en se fondant notamment sur leur structure microscopique. La forme et l’arrangement des prismes de calcite qui forment la coquille d’un œuf varie.

L’étude des nids a permis de mettre en évidence des différences dans le comportement parental des différentes espèces. Ainsi, les hadrosaures pondaient dans une sorte de cratère creusé dans le sol. Après l’éclosion, les jeunes restaient dans le nid, les adultes surveillaient les nids et apportaient de la nourriture à leurs jeunes.

En revanche, les hypsilophodontidés paraissent avoir quittés le nid et il ne semble pas que les parents aient nourri leurs jeunes.

L’étude des nids a permis de mettre en évidence des différences dans le comportement parental des différentes espèces. Ainsi, les hadrosaures pondaient dans une sorte de cratère creusé dans le sol. Après l’éclosion, les jeunes restaient dans le nid, les adultes surveillaient les nids et apportaient de la nourriture à leurs jeunes.

En revanche, les hypsilophodontidés paraissent avoir quittés le nid et il ne semble pas que les parents aient nourri leurs jeunes.